Catégories : Sodom Facesitting lèche

À sept ans, il m’arrivait de jouer avec la fille des voisins, Josette, âgée de dix ou onze ans, dans notre jardin commun. Un jour d’été, Josette décida qu’elle avait de la fièvre et que, étant médecin, je devais lui prendre la température. Ôtant sa culotte, elle me présenta un postérieur bien ferme et, écartant les fesses à deux mains, me demanda de lui lécher le cul pour que « le thermomètre ne me fasse pas mal ». Je voulus bien lui introduire le « thermomètre », un morceau de bois, mais refusai farouchement de lui lécher l’anus et, me plongeant dans la lecture de je ne sais quel livre, répondis à Josette : « Le docteur doit lire ce qu’il faut faire à la malade ». Ce fut la fin du jeu et aussi de nos relations. J’ai, plus tard, bien regretté ce refus ; si j’avais accepté, ma vie aurait, peut-être, pris une autre tournure.
Marie et moi nous sommes ensemble dépucelés à vingt et un an, baisant de temps en temps avant notre mariage, deux fois par jour ou davantage par la suite. Marie refusa de se faire sodomiser jusqu’au jour où, après une soirée bien arrosée en boîte, elle me dit : « Fais-moi ce que tu veux », ce qui, en clair, voulait dire : « Encule-moi ». Elle était tellement excitée que ma bite, plantée bien au fond de son cul, lui procura un orgasme magistral. M’attendant à ce que cela devienne la routine, je le lui proposais chaque fois où nous baisions, mais elle l’acceptait rarement. Dommage, car chaque fois où, en 69 ou allongée sur le ventre, elle me présentait un admirable trou du cul entre ses deux fesses en pomme, j’avais furieusement envie d’aller y pénétrer.
Un jour où Marie m’avait encore refusé le Saint Graal, j’y suis allé de la langue ; le frétillement de ma partenaire me fit immédiatement comprendre le plaisir qu’elle y prenait. Léchant bien tout autour, poussant le bout de la langue aussi profond que je pouvais et lui triturant les fesses, j’ai provoqué ce que j’attendais : « Prends-moi par-là » dit Marie. La découverte fut intéressante pour nous deux ; bien vite, après quelques divers préliminaires, ma moitié s’étendait sur le ventre, écartant bien les fesses à deux mains. Fasciné par le spectacle, je m’y précipitais, langue au vent, farfouillant ce trou du cul qui, au fil des mois et des années, acquit une belle teinte brune et une élasticité de bon aloi.
Bien sûr, j’ai eu, aussi, l’envie d’une langue dans mon cul. Marie ne pouvait refuser ce qu’elle aimait tant, y mettant cependant deux conditions : une irréprochable propreté au-delà de la longueur de sa langue déployée et le droit pour elle de m’enculer à fond. Il y avait longtemps que je m’étais enfilé dans l’anus tout ce que j’avais pu imaginer, je ne demandais pas mieux que de ma faire travailler la rondelle ; nous avions l’habitude de nous bien laver le cul avant les séances de baise prolongée, mais j’ai perfectionné l’opération : enlevant la pomme de douche, j’introduisais, le tuyau dans mon fondement et, faisant couler de l’eau tiède j’enfonçais soixante centimètres de métal dans mon intestin, ce que je fais encore régulièrement aujourd’hui.
Je pus ainsi, à mon tour, frétiller du cul pendant que Marie me prodiguait un génial anulingus puis, à mon tour, sur le dos ou jambes en l’air, je lui offrais à deux mains mon trou du cul à dilater, ce qu’elle fit d’abord avec le gode ceinture acheté ensemble dans notre sexshop de la rue de la Gaieté, plus tard avec un plug de respectable diamètre pour en arriver à un rituel auquel nous prenons tous deux un inépuisable plaisir : d’abord elle me taraude le cul avec sa langue, puis elle me pousse le plug bien au fond du cul tout en me pétrissant les couilles tandis que je me branle et, quand je sens venir la giclée, je lui empale la tête sur ma bite ; elle avale tout.
En général, cela clôt notre séance de baise, étant bien entendu que, de mon côté, je ne lui ai pas ménagé les minutes de langue au cul, avant ou après l’avoir baisée, souvent avant ou après l’avoir enculée.
Bien entendu je suis allé fourrer ma langue entre les fesses de toutes les femmes avec lesquelles j’ai passé des heures au lit. Souvent, leur première réaction fut de refuser parce que « c’était sale » ou que « ça ne se faisait pas ». Ayant découvert le plaisir de l’anulingus, toutes en ont redemandé. Elles n’ont pas toutes accepté la sodomie, mais j’ai su que la plupart ont demandé à leurs habituels partenaires de leur mettre la langue dans le cul.
J'ai hâte d'être depuceler pour sucer la bbit qui sort de mon cul ! |
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